Tintamarre entre copains
Parfois la vie nous réserve des surprises…
Comme quand on se retrouve au même endroit au même moment de l’autre côté de l’atlantique avec un ami que nous n’avions pas vu depuis longtemps ;-). Ou encore quand ce copain vous apprend que d’autres encore, que vous n’avez pas vu depuis une éternité (7 ans ça porte bonheur) sont de passage aussi exceptionnellement juste à côté.
Arrivés à St Martin par la pointe de Pelikan Key, nous commençons par tenter de traverser deux ponts levants et un pont tournant dans la journée pour passer du sud de l’île (coté hollandais), au nord (côté français), par le lagon de Simpson Bay. Quelques péripéties avec les autorités du port nous font craindre de rester coincés au milieu pour le we… mais non, finalement ça passe! Mais on à eu chaud !
A Marigot, quelle joie pour les filles de se rendre compte que malgré les embûches, les cloches ont bien réussit à leur envoyer quelques œufs. Et oui, pas facile quand le chocolat fond si vite au soleil, et que les cloches ne peuvent même pas envoyer leurs émissaires à longues oreilles pour cacher les trésors (rappelons qu’ils sont interdits sur le bateau), mais comment donc font elles 🙂 ?
Lundi, nous commençons notre tournée des grands ducs par un journée à Grand-Case, avec Gaëlle, Cédric et Enzo, que nous avions rencontrés à Barbuda. Mouillage calme, eau bleue, et boui-bouis de bords de plage pas chers. Un super port d’attache, en résumé.
Mardi, départ pour l’île de Tintamarre, avec Peiuko, Marie, Camille et Martin. Le soir tombant nous offre un paysage de Robinson Crusoé.
Les deux jours suivants, nous sommes tellement bien que l’on y reste… Mais cette fois changement de copains, rdv avec nos barbudiens, accompagnés d’autres marins, Damien, Emilie, Malo et Eva-Lilly.
Cette fois la bande de marmot soit impressionner car on ne nous vole pas notre table sous les arbres, qui devient salle à manger et salle des fêtes.
Un petit ola tout de même pour les futurs visiteurs de Tintamarre, nous avons découvert un peu tard la présence de mancenilliers là ou les enfants avaient fait une cabane… Cet arbre toxique au contact de la peau, libère une sève acide. Quelques égratignures par ci, un bobo par là, et deux jours après les filles ont vu leur peau se souvenir de leur passage sur l’île. Dommage que les arbres ne soient pas signalés!
Cette fin de semaine nous redescendons un peu sur l’îlet Pinel. Ce sera notre camp de base pour découvrir l’île coté terrestre…
Magnifiques souvenirs en votre compagnie !